• 6 commentaires
  •  

    Un minuscule petit escargot sur  un grain de raisin

    Que j' ai pu photographié et ensuite détouré

    pour en faire cette petite carte.

      

    Pour oublier les vilains  mots que j' ai reçu  d' un blogueur !!

    Vous avez lu  sur mon blog ici, dans un commentaire,

    les vilains mots d' un blogueur et j' en suis désolée.

    Je ne comprends pas cette indélicatesse de sa part ?

    Dimitrilla  (Nadège )

     

     

     


    7 commentaires
  • Je suis une abonnée de Généanet ... quelques mots de vieux français .

     Abonnée  à Généanet,  quelques mots  en vieux français 

      

    L’arrestation du bandit Cartouche en octobre 1721


    jeudi 9 janvier 2014, par Thierry Sabot
     

     

    Dans son journal, en date du 15 octobre 1721, l’avocat Edmond-Jean-François Barbier (1689-1771) évoque l’arrestation du célèbre bandit parisien Louis Dominique Cartouche :

    « Le 15. Grande nouvelle à Paris : Cartouche [1], ce fameux voleur (...), que l’on cherchait partout et que l’on ne trouvait nulle part, a été pris ce matin ; jamais voleur n’a eu tant d’honneur. On avait fait courir le bruit qu’il n’était plus dans Paris, qu’il était mort à Orléans, même qu’il n’existait pas, afin qu’il ne se méfiât pas de l’envie qu’on avait de le prendre.

    C’est un soldat aux gardes, de sa clique, qui l’a vendu et livré. Pékom, aide-major des gardes, garçon adroit, savait qu’ils étaient de connivence. Il fit arrêter le soldat et le menaça de l’envoyer au Châtelet pour lui faire faire son procès, à moins qu’il ne voulût indiquer Cartouche. Le soldat consentit et a servi de mouche.

    M. Le Blanc, secrétaire d’État de la guerre, qui s’est mêlé de cette recherche, en a chargé un des plus braves sergents aux gardes qui a pris et choisi quarante soldats des plus déterminés, et d’autres sergents avec lui. Ils avaient ordre de prendre Cartouche mort ou vif, c’est-à-dire de tirer sur lui s’il s’enfuyait.

    Cartouche était cette nuit-là dans un cabaret de la Courtille ; il s’était couché sur les six heures du matin, dans le lit du maître, et avait six pistolets sur sa table. On a investi la maison, la baïonnette au bout du fusil ; Duval, commissaire du guet, était présent.

    On a pris Cartouche dans son lit, heureusement sans coup férir, car il aurait tué quelqu’un.

     

    JPEG - 70.9 ko
     
    Un extrait de l’arrestation dans le Mercure de France

    On l’a entouré de cordes, et on l’a conduit en carrosse chez M. Le Blanc. Celui-ci ne l’a pas vu, parce qu’il est retenu dans son lit par une indisposition ; mais ses frères, et le marquis de Traisnel, son gendre, l’ont vu dans la cour, où se trouvaient nombre d’officiers et de commis. On a ordonné de le mener au Châtelet, à pied, afin que le peuple le vît et sût sa capture.

    Il était habillé de noir à cause du deuil de madame la Grande-Duchesse [2], qui est morte il y a quinze jours. On dit que Cartouche était insolent, qu’il grinçait des dents, et qu’il a annoncé qu’on aurait beau le garrotter, qu’on ne le tiendrait pas longtemps. Le peuple le croit un peu sorcier.

    On l’a conduit au Châtelet avec un concours de monde étonnant, et on l’a mais dans un cachot, attaché le long d’un pilier, afin qu’il ne puisse pas se casser la tête contre les murs. À la porte du cachot, il y a quatre hommes de garde ; jamais on n’a pris pareille précaution contre un homme. »

    Quelques jours avant l’arrestation de Cartouche, Edmond Barbier et le Mercure de France relatent une bien étrange affaire :

    « Il a été commis un meurtre effroyable, il y a deux ou trois jours, derrière les Chartreux : on a trouvé un homme horriblement mutilé, le nez coupé, le cou coupé, et le ventre ouvert, dont toutes les entrailles sortaient. Il est depuis ce temps à la Morgue, sans que personne le reconnaisse ou veuille le réclamer. On avait attaché sur lui une carte très bien écrite portant : « Ci-gît Jean l’Abaty [3], qui a eu le traitement qu’il méritait ; ceux qui en feront autant que lui, peuvent attendre le même sort".

    JPEG - 154.9 ko
     
    « L’affaire » dans le Mercure de France

    On sait à présent que l’homme assassiné (voir ci-dessus) est de sa façon. C’était une mouche qui s’était jointe à lui pour voler ; mais Cartouche, craignant que ce ne fût un tour pour le prendre, a conduit ce faux compagnon derrière les Chartreux, sous prétexte de quelque entreprise, et, pour payer son infidélité et intimider les autres, il l’a accommodé de la sorte. »

    Source : Le Journal historique et anecdotique du règne de Louis XV. T. 1 (Édition.1847-1856) de Edmond-Jean-François Barbier, pages 107-109 (texte disponible sur Gallica).


    8 commentaires
  • Les gallinacés  font aussi partie de ma vie.


    10 commentaires
  • A Ulisse, Micky et Canelle,

    Je m' appelle Charlotte . Ma maitresse me surnomme Lolotte.

    A Ulisse, Micky et Canelle,

    Je suis très indépendante

    L' hiver,  je passe mes journée à me prélasser sur le fauteuil de Mamie.

    Je la regarde tricoter d' un petit air fripon...

    elle n' aime pas

    quand je donne un coup de patte sur sa pelote de laine

    Elle n' aime pas

    quand je saute sur la table !!

    cela ne se fait pas !!

    Même dans les toilettes

    Même sur le lavabo !

    J' aimerai dormir sur son lit

    Je n' ai pas le droit

    NON

    Chacun sa place .

    Je lui tiens compagnie

    elle sait que je l' aime et me remercie chaque jour

    par ses mots que je ne comprends pas toujours ;

    par ses caresses ...

    Dès les beaux jours

    je vais partir de nouveau chasser.

    Il m' arrive de partir plusieurs jours sans rentrer à la maison !

    Une vraie vie de chat ...sans contrainte ...

    Je fais ce que je veux ! .... quoique .... pas toujours !

    MIAOU

     

     

     

     

     


    9 commentaires